Jura
Chapelle-des-Bois
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Chapelle-des-Bois
(1)
(1080 m) est une commune située au sud-est du département du Doubs,
dans le
Haut Jura. N'appartenant à aucune vallée et relativement isolée sur
un haut plateau, son territoire forme un curieux appendice aux confins
de la Suisse et du département du Jura.
De la Combe des Cives
au Lac des Mortes, elle est structurée le long d'un axe presque
nord-sud, dominé par le Mont Risoux (2) (1371 m) et la frontière
suisse. La route au nord s'échappe vers Mouthe à 17 kilomètres et
au sud relie la commune à l'agglomération de
Morez et à l'axe de communication avec Genève.
Chapelle-des-Bois fait partie de la communauté de
communes des Hauts du Doubs et du canton de Mouthe. Tout
son territoire est inclus dans le Parc Naturel Régional du Haut
Jura. |
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Hormis à Roche Champion, qui domine directement le
village et où une barre rocheuse est visible, le paysage n'est constitué que de
joux (3)
sombres et de chaux (4),
sèches ou tourbeuses, qui désignent respectivement les forêts de montagne
et les hauteurs herbeuses ou les pâturages élevés
dans le Jura, la Haute Savoie et la Suisse romande.
Les bois noirs d'épicéas l'emportent néanmoins sur les prés d'altitude dont les
noms Prés Hauts, Pré d'Haut entretiennent la confusion avec les
désignations des alpages : alpe, aup, au
(5).
Toutes les cuvettes sont des zones humides, mais les eaux n'ont pas
d'échappatoire en surface. Elles s'évacuent par infiltrations dans les
nombreuses tourbières ou en pertes comme le ruisseau issu des Lacs des Mortes
et de Bellefontaine. ...
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La
curieuse limite départementale qui maintient l'appendice de la
Chaux Sèche sur Chapelle-des-Bois et permet le
contact avec Bois-d'Amont traverse le hameau des
Mortes et le Lac des Mortes à son extrémité
sud.
Gîte Chez l'Aimé |
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... L'eau et les glaciers du quaternaire ont largement décapé les terrains
marneux et le retrait des glaciers a laissé en place de vastes dépôts qui
constituent un sous-sol imperméable favorable au positionnement de lacs dans les
cuvettes. Les lacs et tourbières de Bellefontaine les Mortes et de
Chapelle-des-Bois constituent un ensemble écologie d'une grande richesse,
classé en Natura 2000, dont le maintien dépend étroitement de la pérennisation
des pratiques agricoles actuelles orientées vers l'agriculture biologique
(6). Un peu à l'écart la tourbière de
la Chaumoz
(7)
est également remarquable.
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Les Côtes Martin ferment le plateau de Chapelle-des-Bois
au sud et le séparent du Lac des Mortes. De leur sommet,
on découvre un large plateau avec le village au fond juste
devant les bois. On distingue au fond à droite la Combe des
Cives
dominée par le Mont Risoux et à gauche le groupement de
maisons de Chez Michel avec la distillerie.
Auberge de la Distillerie
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Photo Vallouimages -
Février 2013 |
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L'habitat est fondamentalement dispersé dans de nombreuses
fermes isolées dans autant de clairières. Le village lui-même ne rassemblait que
quelques maisons, même pas regroupées, à l'orée des années 1950
[cf. les photos ci-contre des années 1950 et 1960]. L'église, l'école, la mairie
deux hôtels et quelques fermes dans un bâti très lâche constituaient le village.
Encore aujourd'hui, la densité des constructions du chef-lieu est faible.
Toutefois il se développe au nord entre l'école et le départ des pistes. La
population est en croissance depuis 1990, mais le solde migratoire est en train
de prendre le relais du solde naturel qui s'essouffle. Au total, la commune
comptait 273 Chapelands (151) et
Chapelandes (122) en 2007.
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Tourbières du Creux
Il n'y a pas d'échappatoire pour les eaux de
Chapelle-des-Bois. Elles s'infiltrent sur place ou
aboutissent dans les belles tourbières du Creux au sud
immédiat du village.
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De fait, la commune n'a jamais été très peuplée, le maximum de
population a été atteint sous la Révolution avec seulement 684 habitants. Son
histoire est courte et ne remonte pas au delà du XIIIe siècle, à une époque où
les Hautes Joux n'étaient pas habitées à l'année mais seulement
fréquentées en été par les habitants des villages des alentours qui y menaient
leurs bêtes ou venaient y chasser ou récupérer la résine. L'éloignement
favorisa, à la fin du XVe siècle et surtout durant le XVIe, les premières
installations permanentes en un lieu-dit Champion (8)
au milieu des bois, en les bois qui se disait Ès Bôs. Ce n'était
qu'un hameau sur des terres gagnées sur la forêt dont les habitants (aux
alentours de 150 en 1632) obtinrent en 1636 l'autorisation de construire
une chapelle et un cimetière. Pour les habitants toujours très dispersés, chacun
ayant construit là où il avait défriché, ce fut le point de départ du village
avec sa nouvelle désignation. Il fallut encore attendre jusqu'en 1746 pour que
Chapelle-des-Bois soit érigée en paroisse autonome qui lui valut le statut
de commune à la Révolution
(9).
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Roche Champion (1327 m)
La
frontière sur la crête du Risoux met le village à portée
de boules de neige de la Suisse. La barre rocheuse de Roche
Champion (1327 m) met un peu de relief dans le paysage. Beau
panorama depuis la croix.
La
photo est prise d'un lieu-dit Champion, avant le
Chalet des Anges, qui garde le souvenir du premier nom du
village.
Chalet des Anges |
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L'augmentation de population s'accompagna du défrichement des
forêts par cernées et essartages. Si le premier mode a marqué la toponymie,
contrairement à d'autres régions montagneuses, il y a peu de noms évoquant
l'essartage :
la Cernée aux Moines, le Cernois, Bois Cernois-Roz, contre
les Essarts (vers Roche Bernard). L'élevage, l'exploitation des
forêts étaient les activités principales avec les activités de transformation :
fromagerie, boissellerie, horlogerie, lunetterie. Un moulin et une scierie
tournaient au Creux.
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Combe des Cives
La
Combe des Cives est une superbe clairière tout en
longueur au nord de Chapelle-des-Bois. Elle permet de
rejoindre Mouthe et Chaux-Neuve à laquelle
appartiennent bizarrement les dernières maisons de la combe.
Maison
Michaud - Écomusée |
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Maison Michaud |
Tavaillons et talvanes |
Tué ou tuyé |
Cuisson du pain |
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Foyer au sol de l'a-fû |
Chambre à coucher |
Chez Buffard |
Talvanes |
Calvaire |
Photos Vallouimages - Mars 2008 |
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Aujourd'hui ne restent que l'élevage avec la production de fromages dont
beaucoup en agriculture biologique et l'exploitation des forêts avec une
renaissance de la production de tavaillons (10)
pour les toitures et les
talvanes (10).
Une
distillerie plus que centenaire produisait une excellente eau-de-vie de
gentiane appréciée des connaisseurs. Mais c'est le tourisme qui a pris le relais
des activités anciennes et qui offre de nouveaux débouchés aux productions
locales (fromages, eau-de-vie) et une nouvelle utilisation à quelques vieilles
fermes. L'hiver, le ski de fond et les activités nordiques (raquettes, chiens de
traineau) sont les activités phares. Chapelle-des-Bois se situe sur
l'itinéraire de la Grande Traversée du Jura (GTJ) et de la
Transjurasienne qui se déroule traditionnellement le deuxième week-end de
février
(11). L'été, la région
offre de nombreuses possibilités de randonnées ou de VTT dans un cadre très
verdoyant.
Chapelle-des-Bois |
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Les Landry |
Vers Beauregard |
Vers la Chaumoz |
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Les Mortes |
Bas des Prés Hauts |
Tourbières de la Chaumoz |
Photos Vallouimages - Mars 2009 |
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La préservation du patrimoine local et sa mise en valeur sont
devenues une nouvelle composante du développement touristique. L'écomusée de la
Maison
Michaud dans la Combe des Cives remémore les conditions de vie
d'autrefois et de production de la charcuterie locale dans son beau tué
ou tuyé
(12).
Chapelle-des-Bois |
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Église Saint-Jean-Baptiste |
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Roche Champion |
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La Norbière (Construite en 1824) |
Photos Vallouimages - Mars 2011 |
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L'église du village, simple chapelle lors de sa
construction entre 1633 et 1639, est classée monument historique. Placée
sous le vocable de saint Jean-Baptiste, c'est un édifice simple
au traditionnel clocher comtois en impériale mais d'un grand intérêt
avec notamment un chœur orné d'un retable en bois et d'un maître-autel
au riche antependium en cuir de Cordoue contemporains (1743) de
l'agrandissement de l'église (entre 1733 et 1738) et de l'autonomie
paroissiale (1746). Sa chaire à prêcher, également du XVIIIe siècle
comme l'essentiel de la statuaire en bois polychrome, est un
chef-d'œuvre de sculpture sur bois avec en particulier deux panneaux
sculptés dans du tilleul. L'ensemble, église et cimetière, est placé au
cœur du village, et donne sur la place.
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Sensation de grand vide avant de photographier
l'église. Il manque quelque chose ! Oui, il n'y a plus de fil.
Félicitations et merci à la mairie pour avoir fait le ménage et mis en
valeur son village. |
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Chapelle-des-Bois - Église Saint-Jean-Baptiste |
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Retable du maître-autel |
Chaire à prêcher |
Panneau sculpté de la chaire |
Statue de saint Jean-Baptiste |
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Antependium du maître-autel |
Photos Vallouimages - Mars 2010 |
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Notes :
(1) Chapelle-des-Bois et non La
Chapelle-des-Bois ! Il n'y a pas d'article. Par
contre, la règle des traits d'union s'applique.
(2)
Risoux du côté français, Risoud
du côté suisse, Risol vers son point culminant
(le Gros Crêt, 1419 m), de même prononciation
locale. L’éponyme semble en être le lieu-dit le Risol en plein cœur de la Forêt domaniale du Risol,
dite la Haute Joux
[cadastre, section G, la Haute Joux, 1839].
Un chalet isolé s’y trouvait jusqu’au XIXe siècle sous
les graphies Rizol
[courant XVIIIe], Rizot
[1785], Risol
[cad. ibid.], Risoux
[minutes CEM, 1854].
En patois rezô du
verbe rizi « glisser »,
parce
qu’on faisait glisser les arbres que l’on coupait dans
les hautes joux (« forêt d’altitude »). Du
mot suisse-allemand risi « glissoire sur une
montagne pour faire dévaler le bois dans une forêt »
[FEW 16, 727b ; Robez 1994,
p. 306].
Par
extension, Risoux désigne donc une « forêt où on
faisait dévaler le bois sur une glissoire ».
C’était en
particulier le cas dans les « gits » des alentours de Chapelle-des-Bois, ou «
passage dans la montagne, couloir de descente pour faire glisser les troncs
d’arbre », rattaché au latin jactare « jeter ». [FEW 5, 12-24 ; Robez, 1994, pp.
210-211]. Les jeunes Chapelands s’y illustrèrent durant la
dernière guerre pour faire passer les personnes qui fuyaient les nazis. La photo
ci-dessous en montre quelques uns.
Chapelle-des-Bois - Roche Champion |
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Photo Vallouimages -
Février 2023 |
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On peut citer
les gits du Chalet des Anges, d’Entre Roche, de la
Roche Champion, de la Roche Toinon, du Renart, de la Borne aux Crocs,
de Pesse Pelée, de
l’Échelle, de la Roche Bernard, de la Rampe
[Bourgeois, 1894b ; Robez, 1994, pp. 210-211].
« Le Risoux
c’est une longue suite de rocs dénudés de 30 à 40 mètres de hauteur, au bas
desquels commence une pente fort rapide où croissent, à travers les cailloux
roulants, quelques arbres rabougris et de chétifs épicéas. Ces rocs
perpendiculaires sont coupés à certains intervalles par des coulées que les
habitants désignent sous le nom de gits parce qu’on y jette les sapins
exploités sur la montagne. »[Bourgeois, 1894b ; Robez,
1994, pp. 210-211].
(3) D'un étymon prélatin,
vraisemblablement celtique, *juris
« forêt de
montagne, hauteur boisée »
[Atlas
II = Bessat, Germi, 2004].
(4) D'un autre étymon
prélatin, lui aussi
vraisemblablement celtique, *calmis
« haut plateau
dénudé, plateau rocheux »
[Tous auteurs dont
BG2 = Bessat, Germi, 1993],
élargissement de la racine pré-indo-européenne *cal. Cette origine est retenue par la plupart
des toponymistes. Francis Bono avance à
tort une origine latine à partir d'un latin calma
« paille »
[Bono, 1996],
le français
« chaume » qui désigne la
« paille »
dérive du latin calamus, lui-même issu du grec καλαμος
[DELF].
L'hypothèse du TPC, 2003 qui renvoie à la nature
calcaire des sols jurassiens ne colle pas pour les
Chaux hors Jura sur sols non calcaires !
(5) Les Prés Hauts se subdivisent
finement en Haut des Prés Hauts et en Bas des
Prés Hauts. Le Pré d'Haut cache probablement
un Pré d'Aup, comme le Crêt d'Aup, et même le Crai d'Aup, s'est transformé en Crêt
d'Eau, voire en Crédo
(heureusement corrigé !), par perte de la compréhension
de l'ancienne appellation. Il s'agit d'un classique
phénomène d'attraction d'un nom devenu incompris par un
homonyme proche et compris : crai
« terrain pierreux
élevé » transformé en crêt sous l'influence de
crête
[NLFC, 1995, p 144 ] et
aup
« pâturage élevé » en eau ou
haut !
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Coucher de soleil sur les Landry
Les
maisons des Landry* ne sont qu'à quelques encablures du
village mais déjà à l'orée de la vaste forêt du Mont Noir
derrière laquelle se cache le soleil.
Cîte Panda
les Landry |
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* Il n'y a aucune
raison de mettre un S final à un nom propre. |
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Photo Vallouimages -
Mars 2006 |
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Photo Vallouimages -
Février 2012 |
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Photo Vallouimages -
Février 2014 |
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(6) Natura 2000 - Tourbières et Lacs de Chapelle-des-Bois et de Bellefontaine les
Mortes :
Présentation,
Document d'objectifs.
(7) On trouve diverses orthographes pour
ce toponyme : la Chaumoz
(usuel local), la Chaux Moz
[Bono, 1996],
la Chaumeau (cartes IGN et
suisses). Toutes trois ont une
prononciation commune, puisque les consonnes finales Z
ou X ne se prononcent pas dans la région, avec une
dernière syllabe très peu accentuée*. La première est
celle usitée localement directement issue de l'étymon
d'origine et la dernière n'est que la maladroite
francisation du terme local. On retrouve le même nom
sous la forme Charmoz dans la vallée de
Chamonix.
* « Toponymie arpitane (francoprovençale) :
les noms en -oz, -az, -ex, -ix », Alliance culturèla
arpitanna,
arpitania.eu, n.s., n.d.
(8) Le lien avec le patois champer
« jeter »
[Bono, 1996]
est fantaisiste. Il est plus probablement à rapprocher
avec l'expression « aller au champ » au sens de « mener les bêtes au pâturage »
[TPC, 2003, 2009 ;
Bessat, Germi,
2004]. Ce nom est resté dans
un lieu-dit au nord du village
[Bono, 1996]
et est monté à la roche qui domine le village.
(9) Bourgeois, 1894a et
Bono, 1996.
(10) Les tavaillons sont de petites
tuiles en bois d'épicéa utilisés pour les toitures et
pour recouvrir les façades exposées. Les talvanes,
talavanes
[Bourgeois, 1894a]
désignent ce treillage de tavaillons qui recouvrent les
murs [TPC, 2003, 2009, talvane, p.
375 ; tavaillon, p.379 | Robez, 1994, talevanne, p.
326 ; tavaillon, p. 330].
(11) Alors que le premier week-end de février
est
réservé à la
Percée du Vin Jaune
qui se déroule chaque année dans une localité
différente. Malheureusement celle-ci a perdu de son
attrait œnologique en se transformant en « beuverie au gros jaune » !
(12) Le tué ou tuyé est la
grosse hotte de cheminée située au centre des grosses
fermes comtoises [TPC, 2003, 2009,
p 400].
Jura - Chapelle-des-Bois - Panorama hivernal - Tourbière
de la Chaumoz |
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Panorama Vallouimages - 09
février 2013 |
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__________
Références :
Bessat, Germi, 1993 : Bessat (H.), Germi (C.),
Lieux en mémoire de l'alpe, Ellug,
1993.
Bessat, Germi, 2004 : Bessat (H.), Germi (C.),
Les noms du patrimoine alpin, Atlas toponymique II, Ellug,
2004.
Bono, 1996 : Bono (F), Histoire et mémoire de
Chapelle-des-Bois.
Bourgeois, 1894a : Bourgeois Moine (abbé L.),
Recherches historiques sur Chapelle des Bois*
et
Patois de Chapelle-des-Bois*.
Bourgeois, 1894b : Bourgeois Moine (abbé L.),
Manuscrit
(dit de Chapelle-des-Bois), 1894. Cité par Robez, 1994.
Collectif, Chapelle-des-Bois – Un territoire : une
architecture, CAUE 25, PNR du Haut-Jura, 2000.
Collectif, Dictionnaire suisse romand, Éditions Zoé, 2004. L’article
consacré à tavillon, tavaillon est très complet, pp. 717-719.
Gaillard (N.),
La maison du
Grandvaux, in « Le patrimoine bâti », Les Amis du Grandvaux,
n.d.
Guyon (J.-C.),
Villages du canton
des Planches en Montagne, histoire et patrimoine.
NLFC, 1995 : Lassus (F.), Taverdet (G.), Noms de lieux de
Franche-Comté [...], Éditions Bonneton, Paris, 1995.
Robez, 1994 : Robez-Ferraris (J.), Particularités du français
parlé dans la région de Morez, Haut-Jura, ellug, Grenoble, 1995.
Steib, 1941 : Steib (C),
La langue paysanne, Almanach du Petit Comtois*.
TPC, 2003 : Les Comtophiles - Trésors des parlers
comtois, Cêtre, 3e édition 2003.
TPC, 2009 : Les Comtophiles - Trésors des parlers
comtois, Cêtre, 4e édition 2009.
* Sur le remarquable site de Jean-Claude Guyon,
Villages du canton
des Planches en Montagne, histoire et patrimoine.
Jura - Chapelle-des-Bois - Panorama hivernal
depuis les Prés Hauts |
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Panorama Vallouimages - 11
février 2014 |
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Articles connexes :
...
Jura - Chapelle-des-Bois -
La Chaumoz |
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Photo Vallouimages - 11 février
2014 |
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